Le fossé s’est creusé entre des auteurs inconnus, qui arrivaient encore à vendre 3 000 exemplaires il y a dix ans et qui, maintenant, atteignent péniblement 400, et les romanciers qui dépassent les 30 000 exemplaires – seuil à partir duquel on considère que les écrivains peuvent vivre confortablement de leur plume.
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